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Le Mont Gerbier-de-Jonc |
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Gerbier-de-Jonc, sommet volcanique des monts du Vivarais,
remarquable par sa forme conique ;
1 551 m. Les nombreuses sources de la Loire s'étagent autour de
1 400 m.
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Loire,
le premier des fleuves français par sa longueur (1 020 km)
et par l'étendue du bassin qu'il draine (115 120 km2). Il traverse
une partie du Massif central, du Bassin parisien, la Touraine et le
sud du Massif armoricain.
La Loire supérieure naît de la réunion de petits
torrents qui ont leur source dans des prairies, vers 1 400 m d'altitude,
non loin du cône phonolithique du Gerbier-de-Jonc et du hameau
des Estables. D'un cours d'abord capricieux, elle dévale vers
le nord à travers une succession de défilés où
elle s'épanouit (bassin volcanique du Puy, bassins siliceux
du Forez et de Roanne). Ensuite, elle s'infléchit vers le nord-ouest
à travers les sables tertiaires du Bourbonnais jusqu'au bec
d'Allier, où elle est grossie de l'Allier, rivière sœur,
et où elle n'est plus qu'à 172 m d'altitude. Dans cette
partie de son cours, les principaux de ses affluents, l'Allier excepté,
viennent de la rive droite : le Furens, qui ouvre un passage vers
le Rhône, l'Arroux, grossi de la Bourbince que suit le canal
du Centre (Digoin-Chalon-sur-Saône), l'Aron, qui prête
sa vallée au canal du Nivernais (Loire-Yonne), et la Nièvre,
qui la rejoint à Nevers. Sur ces terrains imperméables
et déboisés, de forte pente, les eaux s'écoulent
avec rapidité ; le régime est très irrégulier
; la période des basses eaux s'étend de mai à
septembre, celle des hautes eaux, d'octobre à avril ; les débits
varient dans des proportions considérables : de 10 à
plus de 20 000 m3/s ; les crues sont soudaines et brutales, les plus
redoutables étant dues aux averses d'automne.
La Loire moyenne traverse le sud du Bassin parisien
en décrivant une vaste courbe, dont Orléans est le site
le plus septentrional. Dans une ample vallée encadrée
de coteaux, souvent plantés de vignes, le fleuve occupe un
lit très large, encombré de bancs de sable ou d'îles
boisées ; c'est la série des vals : val d'Orléans,
Val de Loire, val de Touraine, val d'Anjou, couverts de prairies,
de jardins maraîchers, de pépinières, et jalonnés
de châteaux. L'altitude décroît rapidement : de
91 m à Orléans, à 46 m à Tours, et à
16 m seulement aux Ponts-de-Cé, près d'Angers. De rive
droite, on ne compte pas d'affluents notables. De rive gauche, en
aval d'Orléans, une courte rivière de 11 km, aux eaux
limpides, le Loiret, rend au fleuve les eaux qu'il a perdues par infiltration
dans les calcaires en aval de Gien ; ensuite, le Beuvron, grossi du
Cosson, lui apporte celles de la Sologne ; puis, en aval de Tours,
il reçoit tout un faisceau de rivières : le Cher, l'Indre,
la Vienne, venues elles aussi du Massif central. Par la suite, le
régime reste irrégulier, et les basses eaux sont très
accentuées au niveau d'Orléans.
La Loire inférieure, ou basse Loire, alors
qu'elle pénètre dans le Massif armoricain, est grossie,
sur la rive droite, par la Maine, courte et lente rivière formée
par la réunion de la Mayenne et de la Sarthe, grossie du Loir.
À travers des coteaux schisteux et sombres, le fleuve s'est
creusé un lit très large, parfois divisé en bras,
que séparent des îles allongées, et dont certains,
les « boires », n'ont pas de courant apparent. À
Nantes, où se fait sentir la marée, arrivent, à
gauche, la Sèvre Nantaise et, à droite, l'Erdre, puis
commence un long estuaire, encombré de bancs de sable et de
vase, qui va finir entre les pointes de Chemoulin et de Saint-Gildas,
et sur la rive droite duquel s'est établi le port de Saint-Nazaire.
Le débit moyen de la Loire est de 875 m3/s,
mais, en raison de son régime irrégulier, elle rend
peu de services à la navigation. Autrefois largement utilisée
par la batellerie, notamment entre Orléans et Nantes, la Loire
n'offre plus aux bateaux actuels que deux tronçons, distants
l'un de l'autre de 322 km : le tronçon supérieur comprend
le canal latéral de Roanne à Briare ; le tronçon
inférieur est constitué par la basse Loire et la Maine
– celui-ci nécessitant de fréquents dragages.
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Bienvenue
en Ardèche |
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Si vous optez pour des vacances vertes,
une maison de caractère vous accueillera pour une
semaine, ou pour un séjour plus long : construite
sur le flanc d'une colline, orientée plein sud, au
coeur d'une forêt de châtaigniers centenaires, tout
proche d'un ruisseau. Le calme et l'air pur, le tourisme
et la découverte de cette Ardèche profonde vous plairont,
j'en suis persuadé. Je vous invite à parcourir, dans
ces quelques pages, le Vivarais au coeur du Parc
Régional des Monts d'Ardèche et, plus particulièrement,
la région de Vernoux-en-Vivarais, Saint Jean Chambre,
Chalencon (village de caractère), Silhac,
Saint-Julien-Labrousse, Saint-Michel de Chabrillanoux,
Saint-Pierreville, Boffres, Lamastre, (la vallée
du Doux), les Ollières-sur-Eyrieux, Saint-Sauveur-de-Montagut,
le Cheylard et (la vallée de l'Eyrieux).
Sans oublier bien sur, le Gerbier-de-Jonc (alt.1551m),
le lac d'Issarlés, la cascade du Ray-Pic,
Saint-Martial...
Bienvenue sur ce site! |
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